| | (aurora) dance in the moonlight with me | |
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Auteur | Message |
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Invité | Sujet: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 6:52 | |
| there's no light without darkness | âge › vingt-quatre années, encore à l'aube de la jeunesse mais déjà en plein dans l'âge adulte et les responsabilités qui s'en suivent. date et lieu de naissance › un village du sud de la france dont tu ne te souviens que du nom, cordes-sur-tarn, et de ce que tes rêves peuvent bien se remémorer. c'était au crépuscule de l'hiver dix-neuf cent soixante-cinq, et tu n'y as vécu que jusqu'à tes six ans, tes parents déménageant alors en angleterre. profession › depuis que tes parents, moldus, ont découvert tes talents de sorcière, ils ne rêvaient que d'un avenir grandiose pour toi, dans le monde magique. que tu puisses te faire un nom, en dépit de tes origines, que tu obtiennes un poste respectable, que tu vives une vie de luxe et d’opulence dans cet univers qui n'est pas le leur. en cela, on peut dire que tu les as déçu, tes parents, parce que la seule chose qui te fait vibrer, aurora, c'est la danse classique. que tu pratiques depuis que tu sais marcher et qui insuffle la vie dans chacun de tes pores. mais tes parents ne voient pas les métiers artistiques d'un très bon oeil, trop instable, pas assez sûrs, alors pour les rassurer, tu as quand même fait des études sérieuses comme on dit, dans le domaine de l'herbologie et de la botanique. aujourd'hui, tu oscilles donc entre un emploi chez un apothicaire, qui en dépit des motivations premières, te fascine grandement, et ta passion de la danse. situation amoureuse › éternelle célibataire, l'ange inaccessible, la petite potionniste discrète, la muse sur les parquet brillant : tu ne cherches pas l'amour, aurora, et tu penses donc en être ainsi à l'abri. tu as assez vu souffrir les gens autour de toi pour penser que ce sentiment n'apporte rien de bon. seulement les perles salées sur les joues et le coeur brisé sur le sol comme un miroir d'illusions éclatées. tu te protèges de tout ça, l'air hautain, presque froid, et le palpitant planqué derrière des barbelés acérés qu'à ce jour, personne n'a réussi à franchir. orientation sexuelle › difficile à dire, honnêtement, car tu ne connais pas grand chose à tout ça. tu es pourtant loin d'être innocente ou naïve, aurora, mais comme tu fuis les sentiments amoureux, tu préfères t'occuper de tes envies toute seule, comme une grande fille. il est pourtant déjà arrivé que tu sois attirée par les hommes, parfois même par des femmes -comment les ignorer, alors que tu en côtoie chaque jour les plus gracieuses- mais tu t'es bien gardée de faire de ces fantasmes une réalité. situation financière › plutôt modeste, dans la norme, tu ne croules pas sous les gallions mais tu es loin des galères de fin de mois comme certains en connaissent. tu arrives même à faire des petites économies, au fil du temps, en préparation des coups durs, parce qu'on est jamais trop prudent. groupe › crucio. avatar › sophie turner. crédit › ultraviolences. secrète, passionnée, impulsive, colérique, faussement hautaine, socialement solitaire, ermite populaire, perfectionniste, versatile, émotive, protectrice, silencieuse, jalouse, susceptible, envoûtante, gourmande. statut du sang › né-moldu, tes parents sont tous deux dénués de magie et tu n'en soupçonnais même pas l'existence avant tes onze ans. pourtant, tu as su très bien t'adapter à ce nouveau monde inconnu et excitant, n'ayant pour autant jamais honte de tes origines et les revendiquant avec fierté, qu'importe les problèmes que cela pouvait provoquer. ancienne école/maison › bien que née en france, tu vivais en angleterre avec tes parents depuis ta petite enfance et c'est donc tout naturellement que tu es entrée à poudlard. en tes camarades de serdaigle, tu trouvas une seconde famille. baguette › le bois de charme raffiné et sensible, convenant parfaitement à ton tempérament passionné, renferme une épine de monstre du fleuve blanc ajoutant à l'élégance des sortilèges. relativement souple, elle mesure vingt-quatre centimètres et prédisposée aux sortilèges de défense ainsi qu'aux enchantements. patronus › chrysaora achlyos, plus communément méduse noire géante, imposante et éthérée de l'argenté caractéristique des patronus corporels. la longueur élégante de près de six mètres, le ballet presque hypnotisant des bras péribuccaux, un calme apparent olympien auquel il ne faut pas se frotter. carnivore, la bestiole,sans oublier d'être vénéneuse lorsqu'elle enroule ses bras autour d'autrui, sans doute guère un hasard que cet animal mystérieux et redouté soit ton patronus, bien que tu n'en saisisse à ce jour pas le sens complet, seulement la beauté hypnotique. épouvantard › ce sont tes jambes qui se brisent dans des craquements sinistres, mauvaise chute, acte délibéré, qu'importe la situation, qu'importe le contexte, qu'importent les événements : le résultats est toujours le même. tu perds l'usage de tes jambes. à jamais. tu ne peux plus marcher. tu ne peux plus danser. tu ne peux plus vivre. amortencia › c'est l'odeur des sièges en velours des salles de représentation à l'opéra. c'est la fragrance forte et suave, quelque chose de presque animal. c'est l'effluve des embruns salés, remous incessant sur le sable mouillé. signe(s) distinctif(s) › il n'y a rien de spécial chez toi, aurora, même pas le bleu océanique de tes iris, ni le blond pur de ta chevelure, en tout cas, pas à tes yeux. la chose qui te rends particulière, n'est pas visible au premier abord, car bien au chaud dans tes chaussures. tu as des pieds de danseuse, de danseuse classique, malmenés par des heures et des heures de travail. des années d'acharnement, alors ils ne sont pas beaux, ils sont abîmés, marqués. mais tu t'en contrefous, aurora, parce que tu n'y vois là que la preuve physique de ta persévérance sans faille, de ta détermination d'acier. de ta passion dévorante. |
jusqu'à 1971 : Tes parents, c'était un peu Roméo et Juliette : deux enfants de familles ennemies que tout oppose, mais que l'amour s'entête à réunir. Sauf qu'eux, ils se sont battus jusqu'au bout, refusant la mort que l'auteur prend plaisir à offrir. Avec des poches vides et des coeurs débordants, ils ont fuit pendant des années avant de s'installer dans le sud de la France. Un nouveau nom pour un nouveau départ, pour se défaire de leurs familles respectives, un nouvel avenir. Une idylle qui pouvait enfin s'épanouir en plein jour. Une idylle qui atteignit son apogée à la fin de l'hiver 1965. Une idylle qu'ils nommèrent Aurora. C'était une vie simple qui s'offrait alors à toi, Aurora, paisible et des plus communes. Ton regard d'enfant, d'un éclatant bleu, s'émerveillait de tout, avide de découvertes et d'apprentissage. Et dès que tu as sut marcher, tu as commencé à danser. Comme tous les enfants le font, d'abord, mais plus le temps passait, plus cela semblait grandir en toi, cette passion. Et lorsque tu as posé tes petites mains sur ton premier jupon de tulle rose poudré, ce sont des larmes d'un pur bonheur qui ont embués tes yeux d'enfants. Tu venais d'avoir cinq ans, et ce cadeau allait s'en suivre d'un autre : un petit frère. On ne pouvait pas rêver d'un meilleur anniversaire. Mais les choses ne se déroulent jamais comme on le voudrait. Et si ton jeune âge ne te permettait pas de tout comprendre, tu étais bien assez intelligente pour voir les yeux rougis de ta mère, pour entendre le silence assourdissant de ton père. Au fil des mois, le quotidien utopique s'est effondré et tu as finalement sut que rien ne serait plus pareil quand ta mère est revenue de l’hôpital sans le petit frère promis. Il leur fallait changer d'air, à tes parents fatigués et las, et à cette époque l'Angleterre semblait leur tendre les bras. 1971- 1976 : Londres semblait redonner un souffle nouveau à tes parents, désireux de laisser le passé derrière eux et avec lui, les souvenirs douloureux. Cela prit du temps, bien entendu, mais les choses semblaient revenir à la normale. En tout cas, c'est ce que tu pensais, Aurora, peut-être trop ancrée naïvement dans ton idée d'une famille parfaite du haut de tes huit ans. Un enfant a toujours du mal à imaginer un monde avec des parents séparés. Il fallut pourtant t'y résoudre, ce soir où ils t'annoncèrent leur divorce. Ils n'étaient pas heureux ensemble, qu'ils disaient, ce n'était pas de ta faute, qu'ils te rassuraient, rien n'allait changer pour autant, qu'ils promettaient. Mais toi, gamine, tu avais juste l'impression que le monde autour de toi s'écroulait. Avec qui préfères-tu vivres, qu'ils demandaient. Des hoquets de larmes, que tu leur offrait, ne sachant que répondre. Incapable de choisir entre les deux. C'est sans doute à partir de ce moment là, Aurora, que tu as commencé à décider que l'amour, c'était qu'un ramassis de conneries inutiles. Tu avais cru, en eux, en leur histoire de conte de fée. Et si ce n'était pas la mort qui les séparaient, c'était bien pire : c'était la vie. Finalement, c'est sous le toit de ta mère que tu vivais en période scolaire, à Londres toujours, et les vacances, chez ton père, à New-York. Enfin, jusqu'à ce que tu apprennes que tu étais une sorcière, en tout cas. Ce jour là est gravé dans ta mémoire à tout jamais, parce que ton père était de passage à Londres pour quelques jours, et que vous aviez passé une journée ensemble. Il t'avait emmené au zoo le matin, et l'après-midi, à tes cours de danse. Son regard ne t'avais pas lâché d'une seconde et tu pouvais y lire une fierté émotive bouleversante. Ton père, l'homme de ta vie à n'en pas douter, ton héros, malgré tout ce qu'on pouvait en dire. La rancoeur du divorce, tu l'avais oubliée, même s'il était difficile de ne pas l'avoir près de toi au quotidien. Le soir, il te ramenait chez ta mère, et puisqu'ils s'étaient quittés de concert, leur relation était en de bon terme, alors il resta pour le dîner. Toi, trop heureuse de voir tes deux parents en même temps, tu ne remarqua même pas l'air préoccupé de ta mère. Ton père te borda, embrassa tendrement tes cheveux blonds et alors que tu pensais pouvoir enfin d'enfoncer dans le sommeil, des voix étouffés te parvinrent du salon. Une dispute ? Trop curieuse, la gamine, tu t'y rendis sur la pointe des pieds pour espionner. « C'est une blague, c'est ça ? » demandait ton père d'une voix basse. « Tu as bien lu la lettre ?! » répliquait ta mère au bord de l'hystérie silencieuse. « C'est bien ça le problème ! Cette lettre prétend que Aurora est une... » La voix de ton père se brisa comme si prononcer le mot le rendait plus réel. « Une sorcière, » compléta son ex-épouse, « quel mal il y aurait à ça ? » Le silence s'installa, et la sincérité de la voix de ton père qui le brisa fut la plus belle chose du monde : « Aucun, ça reste notre fille. » Une fois passée la surprise, c'est à dire quelques secondes, tu n'y résista pas et déboula comme une tornade dans le salon, sous le regard étonné de tes parents. « C'est vrai ? C'est vrai ? Je suis une sorcière ? » Ton excitation les fit éclater de rire, à moins que ce ne soit la vision de leur fille sautant sur le canapé comme le jour où tu avais reçu ta première tenue de danse. 1976- 1981 : Dans le train filant à toute allure, tu observes par la fenêtre, à la fois partagée entre l'excitation et la peur. C'est la première fois que tu pars aussi loin de ta mère et de ton père, mais surtout, tu as l'impression d'entrer dans un tout nouveau monde. Un univers dont tu ne connais encore rien mais que tu es prête à accepter avec cette curiosité maladive que tu possèdes depuis gamine. Plusieurs fois, tu te lèves pour vérifier que ton uniforme est bien en place. Poudlard. Ça sonne comme un rêve étrange, inconnu et pourtant familier. Tu trépignes d'impatience, Aurora, persuadée que les années à venir seront les plus belles de ta vie. T'es comme ça, la rêveuse idyllique. L'aurore pleine d'espoir. Quelques heures plus tard, ton uniforme se pare fièrement d'un blason bleuté, orné d'un aigle élégant, et tu as l'impression de retrouver ce sentiment lorsque tu as touché ton jupon de danse pour la première fois. Comme si il avait toujours manqué quelque chose à ta vie, sans même que tu ne t'en aperçoives, et que tu comblait enfin ce vide. Ce n'était pourtant pas la meilleure époque pour entrer dans le monde magique. Peu avant la rentrée, un employé du Ministère de la Magie était venu chez vous, pour parler avec ta mère, et avec toi. De cette entrevue, des mots effrayant se gravèrent dans ton esprit : la magie noire, les mangemorts, la guerre, et « Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. » Un discours que l'employé semblait las et fatigué de répéter, jusqu'à ce que ta mère pose la question fatidique : « Quel est le rapport avec nous ? Avec Aurora ? » S'en suivit une autre explication, l'homme essayant de bien choisir ses mots pour ne froisser personne, sur la pureté du sang et ses adeptes. « C'est ridicule ! » L'exclamation de ta mère fit sourire tristement l'employé, on ne peut plus d'accord avec elle. « Ainsi vont les choses, Madame, c'est pourquoi nous vous recommandons à votre fille d'être prudente, même au sein de l'école. » Après cette entrevue, ta mère hésitait à te laisser entrer à Poudlard, mais devant ton insistance, elle ne tenu pas une journée. Toi, Aurora, tu étais persuadée que tu avais ta place dans ce monde, que tu pouvais t'y intégrer, quoi qu'en disent les autres. Et c'est ce que tu fis, Aurora. Avec ton assurance devenue légendaire, ton joli minois, tes bonnes notes et ta débrouillardise. Bien sûr, il y en avait toujours eu pour te donner des noms d'oiseaux, à toi comme à tous les autres nés-moldus, mais tu n'y prêtais absolument aucune attention. A Poudlard, tu nouas des amitiés solides, te créant ainsi une seconde famille des plus précieuses, bien qu'il fut étrange d'aller en cours alors que la guerre faisait rage. A Poudlard, tu pensas même tomber amoureuse. Mais ce n'était qu'un connard qui avait fait le pari de coucher avec une née-moldu pour « voir si c'était différent ». Alors du haut de tes quinze ans, tu te conforta dans ton idée que l'amour, c'était vraiment qu'un ramassis de merdes. Tu te concentras alors sur tes études, pour le plus grand plaisir de ta mère, sur la danse, pour celui de ton père, et c'était très bien ainsi. La fin de la guerre, lors de ta sixième année, redonna un souffle de vie et de lumière au monde sorcier. Bien sur, personne n'oubliais les pertes, les souvenirs douloureux, mais rien que l'idée que ce soit terminé dessinait sur les visages fatigués des sourires incontrôlables. Toi, Aurora, tu faisais partie des chanceux, de ceux qui n'avaient pas vu en face le véritable visage de la guerre, enfant épargnée et en sécurité au sein d'un château magique imprenable. Mais même ainsi, tu as sentit le poids des ténèbres s'enlever des tes épaules. Tout comme tes parents furent soulagés. depuis 1981 : Parce qu'il fallait bien un véritable travail, comme ta mère s'entêtait à te le répéter, tu as mis l'accent sur les potions et la botanique pour tes ASPIC. A vrai dire, tu ne savais pas trop quoi faire professionnellement parlant, après Poudlard, persuadée que la danse classique serait toujours ta voie principale, mais sous l'insistance de ta mère tu as accepté de réfléchir à quelque chose de stable. C'est ainsi que l'herbologie s'est imposée d'elle même, matière préférée depuis ta première année avec les potions. Cela n'était donc pas un gros effort à fournir, mais tu continuais de pratiquer la danse tout autant à côté. ASPIC en poche, tu es devenue apprentie chez un apothicaire du Chemin-de-Traverse pendant près de quatre ans avant d'y obtenir un poste officiel de potionniste. Tous les week-end, tu rends visite à ton père et profite de la vie New Yorkaise. Tandis que les semaines sont partagées entre la boutique, tes sessions et représentations de danse, tes amies, ta mère. Une vie mouvementée, en somme, mais qui ne te laisse pas le temps de t'ennuyer pour autant. Il y a quelques mois, tu as quitté l'appartement de ta mère avec qui tu vivais depuis ton diplôme, trouvant place dans une colocation de sorciers haute en couleurs. fiche (c) blue walrus
- the muggle-born's tale :
pseudo › cha, tout simplement. (les plus audacieux peuvent même ajouter un t à la fin *wink*) et à propos de toi ? › (en vrai j'suis actuellement en train d'essayer de m'habituer à un clavier qwerty cey la mort.) comment t'es arrivé ici ? › la magie des top-sites. un dernier mot ? › j'aime beaucoup le contexte et l'aspect simple du forum, ça parle à mon petit coeur de potterhead. ≡ recensement avatar. (obligatoire) - Code:
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<bottin>sophie turner,</bottin> <bott>aurora caelum</bott> ≡ recensement du personnage. (obligatoire)() résident des usa (x) résident de l'angleterre () sang-pur - Code:
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› aurora caelum
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| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 6:59 | |
| sophie turner en blonde, mon coeur déraille :brille: :brille: :brille: :brille: bienvenue dans le coin, que c'est mystérieux cette fiche vide, j'ai hâte d'en savoir plus mais le pseudo est divin |
| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 7:17 | |
| ermaged max i can'ton ne la voit que trop peu en blonde, la petite turner merci beaucoup pour ton accueil la fiche arrive doucement mais surement |
| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 7:17 | |
| sophie, le pseudo, le début de ta fiche et puis caelum, ça y est, je pleure, je repense à ffxv et à noctis/lunafreya bienvenue parmi nous |
| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 7:19 | |
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| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 7:23 | |
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| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 7:55 | |
| la belle Sophie, super choix ! bienvenue par ici |
| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 8:48 | |
| sophie en blonde, j'approuve x100000000000000 elle est exquise, j'ai du mal à cesser de regarder ton vava. puis une potionniste, nous faudra un lien. bienvenue par ici et bon courage pour le reste de ta fiche. |
| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 8:51 | |
| mason - ptn dude tu veux me faire pleurer c'est ça idem, je need cet AU, je vais écrire à square enix tiens diana - cait ma waifu ultime merci beaucoup ma belle aspen - mais regarde donc avec grand plaisir pour le lien en tout cas ! et merci beaucoup |
| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 9:09 | |
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| | | Invité | | | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 9:46 | |
| prudence - j'avoue que ça a été une grosse hésitation, entre sophie blonde ou rousse mais avec le personnage qui germait, la blonde s'est imposée d'elle même uhuh au pire ça l'empêchera pas de se faire des colorations de temps à autres si l'envie m'en prends et merci beaucoup pour ton bel accueil, beauté victor - hiiiii merci beaucoup c'est la grosse joie dans mon coeur de voir qu'aurora plait déjà un peu je n'hésiterais pas si j'ai besoin ! |
| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 12:12 | |
| DANSEUSE CLASSIQUE (faut bien changer un peu, tout le monde a fantasmé sur Sophie jusque là )(mais bon, Sophie est un très bon choix aussi ) Bienvenue en tout cas ! Et si la miss passe beaucoup de temps à NYC, alors il nous faudra un lien |
| | | Polar Machen › pseudo : chrysalis/marianne. › messages : 1187 › comptes : none for now. › fc et crédits : jack/par mars love ♡. › âge : vingt-neuf ans.
| Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 16:43 | |
| oooh j'ai adoré ta fiche, comme elle est douce ta aurora et l'histoire avec ses parents, j'aime comment tu as développé tout ça :brille: cependant y'a juste un truc qui me chiffonne, tu dis qu'avant d'apprendre qu'elle était sorcière elle passat la semaine chez sa mère à londres et les weekends avec son père à new york ? sorcière, je comprends, tu peux transplaner et tout ça, mais sans, par moyens de transports moldus... comment faisait-elle le voyage ? ça me paraît juste un peu irréalisable qu'elle traverse l'océan à chaque weekend, ça serait vraiment épuisant pour la pauvre chouette alors c'est juste ça, si tu pouvais m'éclairer un peu là-dessus :brille: |
| | | Invité | Sujet: Re: (aurora) dance in the moonlight with me Ven 5 Jan - 16:50 | |
| hey ooooh oui my bad, j'ai momentanément oublié l'époque je crois je suis un boulet byej'ai modifié cela pour que ce soit partagé plutôt entre période scolaire et vacances du coup, ce qui est plus plausible ! est-ce que cela convient ? en tout cas merci beaucoup pour ton temps et tes jolis mots, c'est adorable |
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